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Marie - Hèlène LECOT vous propose de découvrir le LANGUEDOC

Visite à l'unité (2 heures) : 120 euros

Demi-journée (4 heures) : 180 euros

Journée (8 heures) : 300 euros

    * Chaque visite est ouverte de 1 à 20 personnes maximum

    * La visite 3-9 L' histoire de la médecine à Montpellier nécessite un droit d'entrée supplémentaire forfaitaire.
       Visite à l'unité ( 2 heures ) : 240 euros

    * Dans une même journée , plusieurs visites (2 heures) sont possibles sous réserve de compatibilité géographique

    * Certaines visites (Musées ,monuments, demeures) nécessitent un droit d'entrée supplémentaire obligatoire ou optionnel par personne

Attention: cette liste est non exhaustive ! Je peux étudier toute autre proposition de visites sur une ou plusieurs journées dans la région Languedoc.

  • 1. LE MUSEE FABRE: le musée des Beaux Arts de Montpellier

    Plusieurs possibilités de découvrir ce lieu selon vos goûts et vos disponibilités: Une visite, plusieurs, ou par cycles… tout est possible

    • 1.1 Un parcours rapide dans les collections, de chef d’œuvre en chef d’oeuvre, de Véronèse à Soulages .

      Le musée Fabre compte bon nombre d’œuvres majeures (Teniers, Rubens, Zurbaran, Delacroix, Courbet, Van Dongen, Marquet, Nicolas de Staël, Pierre Soulages…).

      Et lorsqu'à cette richesse artistique vient s’ajouter une pensée architecturale, la ballade vous promet tout sauf l’ennui !

      * Droit d'entrée supplémentaire obligatoire par personne en sus.

    • 1.2 Le musée n’aura plus de secret pour vous ! Un cycle de 6 visites-conférences de la Renaissance au XXème siècle : mise en perspective des différents artistes et courants stylistiques présents dans les salles d’exposition permanente.

      • 1.2.1 La peinture de la Renaissance (XVème-XVIème)

        La collection n’est pas pléthorique, mais les œuvres y sont riches d’une beauté plastique et d’un contenu iconographique susceptibles de réveiller les sensibilités artistiques , et d’évoquer un temps béni des dieux, dans l’aventure de la pensée humaine (Véronèse, Allori, Jean Cousin…)

      • 1.2.2 L’âge d’or flamand et hollandais (XVIIème)

        Les collections nordiques revêtent un caractère intimiste lié à la personnalité et aux penchants artistiques du collectionneur Antoine Valedeau.

        Caractérisée par une hyper spécialisation, et ce, dès la formation des artistes, cette peinture (nature morte, peinture de genre, peinture animalière, paysage…) trouve ses racines et sa justification dans une société bourgeoise originale dont elle est le reflet permanent (Rubens, Seghers, Dou, Van Mieris, Steen, Van Ruysdaël, Potter,Téniers..).

        Virtuosité du pinceau, rendu illusionniste des matières, exaltation du réel… caractérisent ce moment pictural.

      • 1.2.3 France - Italie au XVII : un jeu d’influences

        Le XVIIème siècle offre une étonnante diversité d’expressions née des particularismes des nations qui composent l’Europe, mais aussi des évènements politiques et culturels qui bouleversent les équilibres existants .

        Les oeuvres italiennes du Musée Fabre témoignent de ce foisonnement, du maniérisme finissant (Cigali) à la double influence dominante du Réalisme de Caravage (Ribera) et du classicisme des Bolonais (Dominiquin).

        Face au modèle italien, la peinture française affirme son altérité (Vouet, Poussin, Bourdon, Stello, La Hyre…) et bientôt sa suprématie… L’Italie passe le relais à la France.

      • 1.2.4 Frivolité Rococo et morale néo-classique (XVIIIème)

        Le XVIIIème siècle est particulièrement bien représenté au MF, dans toute son étendue et sa diversité. La première moitié du siècle superficielle et tendre instaure une relation sensualiste avec le monde. Les déesses conquérantes d’Ovide témoignent alors du succès des libertins et consacrent le règne de Vénus. Les œuvres de Ranc, Raoux, Natoire, Coypel sont représentatives de cette période dite « rococo ».

        Mais très vite, sous l’influence conjointe de l’archéologie et de la pensée des Lumières, l’art doit désormais « rendre la vertu aimable et le vice odieux » (Diderot). L’antiquité se révèle soudain comme une terre où se sont livrées des luttes vitales pour la défense des valeurs essentielles : courage, grandeur d’âme, héroïsme, fidélité à la patrie. La peinture néo-classique atteste de ces transformations intellectuelles et sociales qui sapent les fondements de la monarchie en cette fin du XVIIIème siècle.

        François Xavier Fabre, élève de David, a privilégié cette période dans sa donation, faisant ainsi du Musée Fabre, un des hauts lieux du néo-classicisme (Greuze, David, Lagrenée, Vincent, Hallé…)

      • 1.2.5 Romantisme et Réalisme: La révélation du voyage au Maroc et le scandale des « baigneuses » (XIX)

        Une nouvelle fois la richesse des collections du Musée Fabre et la présence d’œuvres majeures nous invitent à la compréhension des grands mouvements intellectuels et stylistiques qui ont jalonné la première moitié du XIXème siècle.

        Un vent de liberté souffle alors sur la création picturale , liberté que revendique haut et fort le Romantisme, ouvrant la voie de la modernité…Géricault, Delacroix, Devéria … témoignent de cette diversité de styles et de sources d’inspiration.

        Dans cette perspective Gustave Courbet subvertit sur son propre terrain la « grande Peinture d’Histoire » et formule de nouveaux objectifs pour elle, inventant par là même une définition originale, politique et contemporaine du « Réalisme. »

      • 1.2.6 De Bazille à Soulages : La modernité en marche et l’inéluctable émiettement de la figuration (XIXème, XXème)

        L’intuition impressionniste de la fugacité du vivant, La réflexion sur la lumière, la couleur, la forme, La remise en question des postulats classiques, La peinture comme langage des âmes affranchissent celle-ci de la représentation du réel et l’acheminent vers l’abstraction (Bazille, Morisot, Manet, Monet, Van Dongen, Marquet, Matisse, Delaunay, Nicolas de Staël, Poliakoff, Soulages…)

        * Droit d'entrée supplémentaire obligatoire par personne en sus.

    • 1.3 Les œuvres à travers les collectionneurs : Cycle de 3 visites (François Xavier Fabre, Antoine Valedeau, Alfred Bruyas).

      • 1.3.1 François Xavier Fabre, le fondateur (1766-1837)

        « On ne peut pas être une heure à Montpellier sans qu’on vous parle du musée Fabre , situé sur l’Esplanade » écrit Stendhal en septembre 1837, douze ans après la donation qui avait doté la ville d’un musée et d’une bibliothèque et valu à leur fondateur, le peintre François Xavier Fabre, une notoriété nationale et le titre de baron. Fabre était mort six mois plus tôt à 71 ans dans l’appartement qu’il occupait au musée en sa qualité de directeur à vie.

        Cette visite vous permettra de découvrir la personnalité, l’œuvre du peintre et du collectionneur que fut François Xavier Fabre.

      • 1.3.2 Antoine Valedeau , un esthète autodidacte ou la délectation du regard (1772-1836 )

        Antoine Valedeau : 79 tableaux, 345 aquarelles Du vivant de Fabre, le legs Valedeau complète parfaitement la tonalité classique de la collection initiale. Profitant des opportunités du marché à l’époque révolutionnaire, il accumule des œuvres précieuses et intimistes d’origine ou de « qualité », nordique, témoignant par ailleurs du goût de son époque (Van Mieris, Steen, Reynolds, Grauze, Teniers, Dou…)

      • 1.3.3 Alfred Bruyas « un personnage de Dostoïevsky dans un univers balzacien « (1821-1877)

        Alfred Bruyas : troisième volet du cycle « les collectionneurs du musée Fabre »

        « Un personnage de Dostoiëvsky dans un univers balzacien» c’est en ces termes que Xavier Déjean,ancien conservateur du musée Fabre, abordait le personnage. Peu d’amateurs d’art ont laissé dans l’Histoire un souvenir aussi singulier que ce mécène montpélliérain. Peintre raté aux origines, il compense son incapacité créatrice et son malaise existentiel en vouant sa vie à sa collection, qui deviendra au fil du temps un véritable projet intellectuel.

        Avec le legs Bruyas, (Courbet, Delacroix, Géricault, école de Barbizon…) le musée Fabre devient un lieu de référence pour les artistes. En témoignent le voyage de Van Gogh et Gauguin en 1888, celui de Signac en 1897…

        Bruyas et son beau profil de prince romantique fascina les peintres de son temps et nous surprend encore aujourd’hui. L’image obsessionnelle, envahissante et quasi fantomatique du collectionneur appartient désormais à l’âme du musée Fabre.

      • * Droit d'entrée supplémentaire obligatoire par personne en sus.
    • 1.4 Pour les fans de Gustave COURBET , une visite spéciale autour de celui qui s’affichait «courbétiste»!

      Gustave Courbet: (Ornans 1819, la Tour de Peilz, Suisse 1877) chef de file de l’école «réaliste»

      • 1.4.1 Gustave COURBET et MONTPELLIER

        L’histoire commence lorsqu’Alfred Bruyas, le collectionneur et mécène montpelliérain, achète les Baigneuses, le tableau défraie la chronique et déclenche le scandale au salon de 1853. Ce sera le début d’une fructueuse collaboration entre deux personnalités hors norme pour lesquelles le "Réalisme est l’avenir de la peinture" .

        Les deux séjours de Courbet à Montpellier engendrent des œuvres claires et lumineuses, nourries de cette lumière méridionale que le peintre découvre alors.

        La rencontre, le tableau emblématique de cette période, évoque symboliquement le contrat tacite passé entre les deux hommes : appui financier pour Courbet, satisfaction pour Bruyas, d’être devenu l’ami et mécène du grand Courbet.

      • 1.4.2 Gustave COURBET (1819-1877) ou l’entrée dans la modernité (version conférence si vous disposez d’une salle)

        Ce qui frappe chez Courbet, c’est la cohérence de son projet, l’unité de sa trajectoire, l’adéquation entre ses idées, ses actes et ses tableaux. Ce « fou de peinture » fort en gueule, tonitruant, fut honni, admiré, détesté, envié, parfois sanctifié.

        Dépoussiérer la sacro sainte peinture d’Histoire, la vider de son sens pour lui en donner un nouveau, personnel, actuel et démocratique, voilà quelle fut sa tâche. Au-delà de son œuvre, Courbet change en profondeur le regard des artistes, leur ouvre la voie à toutes les remises en question possibles, en jouant le rôle d’éveilleur, de perturbateur…

      • * Droit d'entrée supplémentaire obligatoire par personne en sus.
    • 1.5 Pour les fans de Pierre SOULAGES (né à RODEZ en 1919)

      • 1.5.1 Pierre SOULAGES et MONTPELLIER

        Une histoire d’amour qui remonte aux années 1940 et comme preuve, 31 œuvres de cet artiste réunies dans un espace spécialement pensé pour les jeux du noir et de la lumière…(19 tableaux offerts par l’artiste et 11 prêts exceptionnels).

        Le musée Fabre, un haut lieu pour apprivoiser, s’imprégner ou tout simplement aimer la peinture de Pierre Soulages.

      • * Droit d'entrée supplémentaire obligatoire par personne en sus.
    • 1.6 L’hôtel SABATIER d’ESPEYRAN : Département des arts décoratifs du musée Fabre.

      Cette demeure construite en 1875 pour le Comte Charles DESPOUS DE PAUL , et léguée par ses descendants à la ville de MONTPELLIER en 1967, est devenue en 2010 , le département des Arts décoratifs du musée Fabre.

      Le temps s’est arrêté dans les Salons Napoléon III , à l’atmosphère confinée et pesante, ailleurs, il s’écoule au grès des modes : mobilier, faïences, argenterie, objets d’art, cadre de vie d’une société brillante et raffinée.

      * Droit d'entrée supplémentaire obligatoire par personne en sus.

    • 1.7 Expositions temporaires

      • 1.7.1 RETROSPECTIVE CLAUDE VIALLAT ( Du 28 juin au 2 novembre 2014 )

        Claude VIALLAT , né à Nîmes en 1936 .

        Rétrospective

        Au cours des années 1960-1980, le problème de l'abstraction se déplace radicalement. Y domine une réflexion sur le rapport à la surface de la toile et à l'occupation de l'espace.

        L'oeuvre d'art est repensée dans ses fondements. Claude Viallat, étudiant à l'école des Beaux Arts de MPL (1955-1959) puis à celle de Paris(1962-1963), sera en 1969 un des membres fondateurs du groupe SUPPORTS-SURFACES, qui remet en question les éléments matériels de la peinture et les modes d'accrochage institutionnels. Viallat peint sur des matériaux de récupération (parasol, bâches, stores…) et accroche ses oeuvres dans la rue, recto-verso….

        En 1966, avec des toiles sans châssis , il adopte un procédé d'empreinte et de répétition d'une forme identique, sorte de haricot ou de palette qui deviendra sa marque.

        Composée d'une centaine d'oeuvres,l'exposition retrace le parcours de cet artiste de ses premiers travaux à aujourd'hui.

  • 1 BIS. Musée ATGER: collection de dessins

    Logée dans les anciens salons d’apparat de l’évêché, au premier étage de la Faculté de médecine, la collection Atger constitue un ensemble de haut intérêt artistique : on a pu dire, eu égard à leur valeur, que les dessins du Musée formaient la deuxième collection française après celle du Louvre.

    Avec ses mille dessins et ses quelques cinq mille estampes, il est le plus ancien musée de Montpellier. Une collection d’œuvres d’art, signée des plus grands noms comme Fragonard, JB Tiepolo, Vigée-Lebrun, Bruegel, Tintoret ou Rubens…

  • 2. VISITES QUI ASSOCIENT LA VILLE DE MONTPELLIER et LE MUSÉE FABRE

    • 2.1 La vie montpelliéraine à la fin du XIXème siècle.

      Des salons de l’Hôtel Sabatier à l’émergence de la ville haussmanienne. Dans la demeure comme dans la ville, les maîtres mots sont alors «éclectisme» et «opulence»: la référence systématique aux styles du passé ainsi que l’abondance décorative consacrent le triomphe de l’esprit bourgeois.

      * Droit d'entrée supplémentaire obligatoire par personne en sus.

    • 2.2 Deux peintres montpelliérains - Deux destins exceptionnels

      • 2.2.1 Sébastien BOURDON ( 1616-1671 )

        Jeune peintre protestant au tempérament de feu, membre fondateur de l’Académie Royale de peinture et de sculpture, peintre de la Reine Christine de Suède …un des artistes les plus originaux de son temps … cathédrale Saint Pierre et Musée Fabre)

        * Droit d'entrée supplémentaire obligatoire par personne en sus.

      • 2.2.2 Frédéric BAZILLE ( 1841 - 1870 )

        Une carrière brisée à 29 ans, une œuvre déjà passionnante par sa proximité avec l’avant-garde impressionniste (amitié avec Monet, Renoir, Sisley…) et un tempérament plus « classique » qui s’épanouit à l’aune de la lumière méridionale (maison natale Eglise Saint Roch, musée Fabre).

        * Droit d'entrée supplémentaire obligatoire par personne en sus.

  • 3. REGARDS SUR MONTPELLIER : HISTOIRE ET ARCHITECTURE

    • 3.1 A la découverte de l’«Ecusson»

      • 3.1.1 Une ballade au cœur du centre historique pour capter «l’âme» de la ville:

        Dédale de ruelles médiévales, cours d’hôtels particuliers, églises, place royale…une approche historique et architecturale pour comprendre la dynamique de Montpellier du Moyen-Age à aujourd’hui…


        Et Avec Option ( Supplément de prix )
        Mikvé (bain rituel juif XIIème siècle) : 140 euros (2 heures)
        Ascension de l’arc de triomphe & Mikvé : 200 euros (3 heures)

    • 3.2 Montpellier au Moyen Age: les origines d’une ville à la double vocation marchande et intellectuelle

      L’impression première est classique mais la réalité architecturale est tout autre : tel un archéologue, redécouvrons le patrimoine médiéval, reflet d’une ère de prospérité sans égal, où Montpellier cosmopolite, commerçait avec le monde entier.

    • 3.3 Montpellier sous l’Ancien Régime: capitale administrative de la province du Languedoc. Les hôtels particuliers du XVIIème et XVII ème siècle.

      C’est en ouvrant les portes cochères que l’on découvre la véritable richesse architecturale de la ville : les escaliers à cage ouverte, se substituant à la vieille tour médiévale, reflètent désormais la réussite sociale du propriétaire : magistrat, financier, juriste ou médecin.

    • 3.4 Ôde à Louis XIV: L’arc de Triomphe et la place Royale du Peyrou

      Rien n’est trop beau pour rendre gloire au Roi, en sa lointaine province du Languedoc ! L’épopée d’une place et les réticences d’une province rebelle et protestante.

    • 3.5 La ronde des «folies» autour de Montpellier ...

      Plusieurs maisons de plaisance vous ouvrent leurs portes, leurs salons, leurs jardins… Bâtis au XVIIIème pour une société élégante et raffinée, élite urbaine sacrifiant à la mode de la «demeure aux champs», elles témoignent du rôle prépondérant de Montpellier, capitale administrative de la province.
      (entrées payantes)

      Dans le centre ville de MONTPELLIER :

      • 3.5.1 Hôtel Haguenot, la folie d’un médecin astronome

        * Droit d'entrée supplémentaire obligatoire par personne en sus.

      • 3.5.2 Hôtel de Guidais, la demeure d’un architecte

        * Droit d'entrée supplémentaire obligatoire par personne en sus.

      Aux environs de Montpellier :

      • 3.5.3 Le château de Flaugergues, la plus ancienne «folie», propriété de la famille de Colbert, pour les amoureux des jardins.

        * Droit d'entrée supplémentaire obligatoire par personne en sus.

    • 3.6 Le temps des «pinardiers»: le XIXème siècle ou l’Age d’or de la viticulture

      La mode haussmanienne n’épargne point Montpellier, mais elle se teinte d’une surabondance décorative, reflet d’une bourgeoisie «parvenue» pour laquelle l’éclectisme des styles sera la solution; c’est en faisant , disait-on «pisser la vigne», qu’en deux ans, fortune était faite!

    • 3.7 Un conte d' apothicaire : La pharmacie de la Miséricorde XVIII et XIXème siècles

      L’occasion d’aborder dans ce lieu insolite plusieurs histoires…celle de la Miséricorde, institution caritative du XVIIème, celle des poivriers souverains (importateurs en gros d'épices) et de la pharmacie, celle de la faïence de Montpellier…une belle collection préservée «in situ», chose rare… (entrée payante)

      * Droit d'entrée supplémentaire obligatoire par personne en sus.

    • 3.8 Pour les passionnés de Faïences : La pharmacie de la Miséricorde XVIII et XIXème siècles ET L' hôtel SABATIER

      pour ne parler que de faïences...

      * Droit d'entrée supplémentaire obligatoire par personne en sus.

    • 3.9 L'HISTOIRE DE LA MEDECINE À MONTPELLIER : DEPUIS LE XII ème Siècle

      Un lieu prestigieux: la faculté de médecine et le conservatoire d’anatomie

      La plus ancienne faculté de médecine d’Europe encore en exercice, Montpellier fut à partir du XIIème siècle, le point de convergence de tout le savoir médical issu du bassin méditerranéen : tradition juive, arabe ou gréco-latine…

      Cette visite vous propose deux histoires : celle de l’enseignement de la médecine et celle des bâtiments dans lesquels se déploie cet enseignement depuis la Révolution (monastère devenu Palais épiscopal puis école de Santé). De surprise en surprise jusqu’au Conservatoire d’Anatomie où le temps semble s’être arrêté…

      L' histoire de la médecine à Montpellier nécessite un droit d'entrée supplémentaire forfaitaire. Visite à l'unité (2 heures) : 240 euros.

    • 3.10 LA CATHEDRALE SAINT PIERRE ou LES METAMORPHOSES D'UNE CHAPELLE PONTIFICALE ( XIVème siècle )

      Bâtie par un des maîtres d’œuvres de la cour pontificale avignonnaise, Saint Pierre est un bel exemple de «gothique méridional» et la seule église rescapée des guerres de religion intra-muros. De la chapelle bénédictine au «complexe» de la cathédrale, une histoire mouvementée, qui permet aussi d’approcher un des grands génies de la peinture du XVIIème siècle: le montpelliérain Sébastien Bourdon «la chute de Simon le magicien», œuvre majeure de ce lieu.

    • 3.11 MONTPELLIER , VITRINE DE L'ARCHITECTURE CONTEMPORAINE

      Ricardo BOFIL pense et réalise « Antigone » dans les années 1980-90. En 2011, Jean NOUVEL arrime, tel un gigantesque navire noir aux reflets bleutés, la mairie de Montpellier sur les rives du Lez…

      Entre les deux, la ville contemporaine se déploie en direction de la mer, selon une cohérence urbanistique initiée, il y a 30 ans …toujours soucieuse de l’Homme et d’une certaine qualité de vie.

  • 4. COTE MER

    3 sites à quelques kilomètres et à quelques siècles l’un de l’autre.

    • 4.1 LA GRANDE MOTTE ... UNE VILLE SURGIE DU SABLE

      Une découverte surprenante, loin des idées reçues. Ville classée « Patrimoine du XXème siècle »

      Créée " ex nihilo " dans un désert de sable et de marécages à la fin des années 1960, à l’initiative du Général DE GAULLE , la conception de la GRANDE MOTTE fut confiée à un jeune architecte philosophe, Jean BALLADUR . Ce dernier mit en œuvre un projet d’une audace et d’un avant – gardisme inouï ; inspiré par les temples précolombiens de Teotihuacan au Mexique et nourri d’une pensée profondément humaniste, il osa la forme pyramidale et le rêve d’une ville - jardin.

    • 4.2 AIGUES - MORTES : SAINT LOUIS ET LES COMMERCANTS GENOIS ... La Tour de Constance, les remparts, Notre Dame des Sablons…

      Comme son homologue contemporaine la Grande Motte, Aigues Mortes est née dans un « no man’s land » de marécages par la volonté du Roi de France : Saint Louis (1214-1270). En ces temps lointains où tous les enjeux commerciaux, religieux et politiques étaient centrés sur la mer méditerranée, le Roi a vite saisi l’importance d’une telle fondation.

      C’est toute l’Histoire humaine, stratégique, architecturale d’une ville fortifiée du XIIIème, parmi les mieux conservées qui soit en France, que nous vous proposons de découvrir.

       

      *entrée payante Tour de Constance + remparts

      * Droit d'entrée supplémentaire obligatoire par personne en sus.

    • 4.3 LA CATHEDRALE DE MAGUELONE XIIème SIECLE

      Un lieu insolite et romantique au milieu des étangs. Bel exemple d’architecture romane, « Insula Magalona » à l’époque romaine, siège d’un évêché pendant mille ans (entre le Vème et 1536), oubliée puis ressuscitée par un passionné d’histoire et de vieilles pierres au XIXème siècle , la cathédrale de Maguelone est un site hors du commun, presqu’ insulaire aujourd’hui , noyé dans une végétation luxuriante et peuplé d’une colonie de paons dont la présence est millénaire en ces lieux.

      * Droit d'entrée supplémentaire obligatoire par personne en sus.

    • 4.4 SETE et L'ETANG de THAU

      ( formule Journée ou demie journée)

      Vision aérienne au sommet du Mont Saint Clair, réalités économiques folkloriques (joutes) ou gastronomiques (tielle, rouille…) le long des quais, les origines de la ville Royale créée par la volonté de Colbert au débouché du Canal du Midi, une approche plus artistique avec le musée Paul Valéry (école sétoise avec les frères di Rosa, Combas, Desnoyer… ) un pèlerinage pour les amoureux de Georges Brassens au musée qui lui est consacré, de Paul Valéry « au cimetière marin »…ou de Jean Vilar (maison natale récemment ouverte au public).

      Véritable mer intérieure, donnant à Sète son caractère insulaire, l’étang de Thau est un monde à part entière, celui de la conchyliculture (…) du vignoble de Picpoul, d’une prudhommie indépendante de pêcheurs , témoin d’un passé antique prestigieux (villa de Loupian ) ; A découvrir en voiture ou en bateau pour une approche plus concrète et vivante des techniques conchylicoles.

      • Bateau en supplément
      • Musée Paul Valery, entrée payante
      • Musée Georges Brassens, entrée payante

      * Droit d'entrée supplémentaire sur option par personne pour accéder, pendant la visite à certains lieux.

    • 4.5 L'ABBAYE CISTERCIENNE DE VALMAGNE

      La magie d’un lieu où l’harmonie naturelle et la main de l’Homme se sont conjuguées, pour atteindre une sorte de perfection esthétique et architecturale : l’église surprenante pour le moins, la fontaine des moines ornement du cloître, l’auberge du domaine, promesse de plaisirs gustatifs …produits du potager et du vignoble…

      • Entrée abbaye payante
      • Possibilité d’associer Valmagne à Sète ou Pézenas ou bassin de Thau (excursion journée)

      * Droit d'entrée supplémentaire obligatoire par personne en sus.

  • 5. COTE VILLES

    • 5.1 MONTPELLIER

      * Droit d'entrée supplémentaire sur option par personne pour accéder, pendant la visite à certains lieux.

    • 5.2 SETE

      La colline de Sète a la forme d'une baleine échouée sur le sable entre deux mers: la Méditerranée et l'étang de Thau, petite "mer" intérieure dont la vraie richesse aujourd'hui est l'élevage d'huîtres et de moules. Du haut du mont St Clair, c'est la région toute entière, dans sa grande diversité qui s'offre à vous. Une fois descendu de votre poste d'observation, c'est le long du vieux canal qu'il faut flâner pour humer l'ambiance sétoise… pittoresque port de pêche avec ses particularismes folkloriques (joutes), gastronomiques ( teille, bourride, rouille…) , artistiques (musées et peintres sétois comme les frères Di Rosa,de renommée internationale…), et ses grands hommes : Paul Valéry et Georges Brassens...

      * Droit d'entrée supplémentaire sur option par personne pour accéder, pendant la visite à certains lieux.

    • 5.3 PEZENAS

      PÉZENAS comme UZÈS , font partie de ces villes moyennes (6000 habitants) oubliées un temps, et ressuscitées à la faveur de la loi Malraux (secteurs sauvegardés) et de la manne touristique, sorte de musées d’architecture en plein air au charme indéniable.

      PEZENAS doit une partie de sa renommée au célèbre Jean-Baptiste POQUELIN , né à Paris , devenu « MOLIÈRE » en cette bonne ville de Pézenas. Là où, à la tête de sa troupe « l’illustre théâtre » il joua la Comédie pour le prince de Conti, gouverneur de la province ,ou à l’occasion de la cession des Etats du Languedoc. Pézenas, connut de s heures de gloire économique (foires) et politique, dont témoigne encore aujourd’hui son exceptionnel patrimoine architectural.

      Pour compléter la visite :

      • Hôtel d’Alfonse où Molière joua « le médecin volant », un des plus prestigieux de la ville. Supplément 1 euros par personne.
      • Scénovision Molière à l’Office de Tourisme , à payer directement à l’Office de Tourisme
      • La visite de Pézenas peut être associée à Valmagne, Saint Guilhem le désert, Séte ou Montpellier (excursion journée)

      Journée excursion

      * Droit d'entrée supplémentaire sur option par personne pour accéder, pendant la visite à certains lieux.

    • 5.4 UZES ET SON DUCHÉ

      Flâneries au grès des ruelles sur les traces de Racine et d’André Gide

      Un lacis de vieilles ruelles et de places aux tonalités déjà provençales, les tours symboles des « pouvoirs en place, la vieille cathédrale Saint Théodorit et ses joyaux, l’orgue aux volets peints du XVIIIème et la tour fenestrelle (XIIème), le pavillon Racine et la source de l’Eure, réputée pour l’abondance et la pureté de ses eaux qui alimentait le fameux Pont du Gard à l’époque romaine.



      Pour prolonger la visite :

      • Visite du Duché : le drapeau flotte sur les toits du Duché…Monsieur le Duc est dans ses appartements ! (en supplément)
      • Visite usine Haribo, pour les gourmands ou ceux qui ont conservé le goût de l’enfance…
      • Possibilité d’associer Uzès au pont du Gard* (excursion journée)

      * Droit d'entrée supplémentaire obligatoire par personne en sus.

    • 5.5 NIMES ANTIQUE et LE PONT DU GARD

      Une civilisation de la « Ville » et de « l’Eau », à l’image de Rome.

      NIMES ANTIQUE

      Aux origines de Nîmes, l’eau est honorée comme manifestation divine : dans les garrigues chaudes et sèches, Némausus, le dieu de la fontaine y est source de vie.

      Colonie de droit latin, la ville (7 kilomètres de remparts /220 ha), immense se pare de somptueux monuments, l’eau devient alors un élément de confort, signe de prospérité, forme d’ostentation. C’est pour répondre à ces impératifs nouveaux qu’est bâti le pont du Gard « Aqua Ducta »…(jardins de la fontaine, castellum, amphithéâtre…et Pont du Gard).(entrées payantes)


      Fin du 1er siècle avant JC, Nîmes entre dans l’orbite de Rome. Colonie de droit latin, protégée de l’Empereur Auguste, la ville se dote de prestigieux bâtiments qui font aujourd’hui la notoriété de « la Rome des gaules ».

      LE PONT DU GARD

      Nul n’est besoin de présenter un site aussi universellement connu et reconnu que le Pont du Gard, classé patrimoine mondial de l’UNESCO. Laissons la parole à ceux qui le découvrirent en d’autres temps :

      « Pour le coup, l’objet passa mon attente et ce fut la seule fois de ma vie… je me perdais comme un insecte dans cette immensité. Je sentais, tout en me faisant petit, je ne sais quoi qui m’élevait l’âme et je me disais « que ne suis-je Romain ! » (Jean-Jacques Rousseau, les Confessions 1782).

      « Le Pont du Gard s’élève majestueusement au milieu de la plus profonde solitude…l’âme est jetée dans un long et profond étonnement. C’est à peine si le Colisée à Rome m’a plongé dans une rêverie aussi profonde…le thym, la lavande sauvage, le génévrier, seules productions de ce désert, exhalent leurs parfums solitaires sous un ciel d’une sérénité éblouissante… » (Stendhal, Mémoires d’un touriste, août 1837).

      Le miracle du Pont du Gard, c’est qu’aujourd’hui encore, l’impression est tout aussi saisissante, pour celui qui sait voir et ressentir sa dimension immuable et éternelle. ( Entrée payante)

  • 6. COTE MONTAGNE

    • 6.1 SAINT GUILHEM LE DÉSERT et LES GORGES de L'HÉRAULT (Classé Patrimoine mondial UNESCO)

      Là encore, la nature et la main de l’Homme se sont rejoints pour créer un des sites les plus fascinants de la région. Guilhaume d’Orange, cousin germain de Charlemagne, décide en 804 de se retirer en ce lieu exempt de toute présence humaine. Très vite la notoriété de ce valeureux guerrier abandonnant les armes pour une vie érémitique va faire de l’abbaye de Gellone un des hauts lieux de prière sur la route de Saint Jacques de Compostelle.

      Villages, chemins de randonnées, falaises géantes, grottes, zones forestières protégées, paradis des botanistes, des entomologistes, des spéléologues, Saint Guilhem le Désert peut susciter l’intérêt et la curiosité de chacun. Son abbaye reste un des chefs d’œuvre du premier art Roman languedocien (XIème siècle).

       

      Pour une journée-excursion

      • Possibilité d’associer Saint Guilhem avec la grotte de Clamouse (entrée payante)
      • Possibilité d’associer Saint Guilhem avec le village de potiers de St Jean de Fos (échoppes au gré des ruelles, musée Argileum, entrée payante) Saint Jean de Fos, renommé pour sa production de terre cuite vernissée rustique, de tuiles faîtières et descentes de canalisation.. .après une interruption au XIX et XXème siècle, renouveau grâce à certains artisans qui ont repris les techniques ancestrales.

       

      * Droit d'entrée supplémentaire sur option par personne pour accéder, pendant la visite à certains lieux.

    • 6.2 LODÈVE , avant de sauter « Le Pas de l’Escalette » sur le chemin du Larzac ( Pays d’Art et d’Histoire )

      A l’écart des sentiers battus, et avant d’atteindre les terres austères et sauvages du Causse du Larzac, Lodève se révèle soudain, comme le dernier bastion de civilisation urbaine : la cathédrale Saint Fulcran, témoin d’un des plus prestigieux évêchés de la région (Vème siècle), l’activité drapière, manne considérable lorsque le cardinal de Fleury, originaire de Lodéve, devenu ministre de Louis XV assure à la cité le monopole de fabrication des draps pour la confection des tenues des troupes royales. Figure majeure de Lodève,Paul Dardé (1888-1963), sculpteur autodidacte, enfant du pays d’une expressivité et d’une originalité formidables : le monument aux morts, la halle Dardé..., le musée Fleury(entrée payante)

      Journée excursion

      Pour prolonger la visite de Lodève: l’atelier de la Savonnerie (mobilier national) conservatoire d’un savoir-faire d’exception, succursale de la manufacture parisienne. Visite des ateliers de haute lisse: de 1 à 10 ans de travail pour la fabrication d’un tapis ! Entrée payante.

      Pour découvrir au-delà de Lodève, le Haut-Languedoc: Causse du Larzac, la Couvertoirade, le cirque de Nacalles

      * Droit d'entrée supplémentaire sur option par personne pour accéder, pendant la visite à certains lieux.

    • 6.3 LE CAUSSE DU LARZAC : une identité naturelle et culturelle

      La terre du Larzac n’est pas comme les autres: des horizons infinis, des chemins pierreux bordés de buis, des maisons austères révélatrices d’une certaine dureté ,âpreté de l’existence, une terre aimée de ceux qui y vivent et la cultivent depuis des temps immémoriaux. Pour la garder vivante, une lutte historique de 10 ans (1971-1981), a porté loin, au-delà de ses limites géographiques, la renommée du Larzac. Chacun se souvient du slogan «gardarem lo Larzac», au moment où Michel Debré, ministre de la Défense, décida d’en faire un camp militaire. Un moment de pleine nature, magnifié par une merveille géologique, le cirque de Navacelle et son canyon de 300 mètres creusé par la Vis depuis des millénaires… A vous couper le souffle!

  • 7. A VOTRE CONVENANCE : DEMANDE / DEVIS

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